• Ou autrement dit le Pay It Forward auquel j'ai participé.

    Comme vous pouvez le constater
    Sarah a vite compris à qui elle avait affaire.
    Elle m'a adressé des marque-pages (allez savoir pourquoi)


    Une adorable pochette rouge (??) et imprimée de chats (???). Etrange idée aussi n'est-ce pas ?

    Ouverte


    Et de plus près


    La-dite pochette a déjà intégré mon sac à main où elle regroupe toutes ces sacrées petites cartes de fidélité ou d'abonnement qu'on vous donne un peu partout et que vous ne savez jamais où ranger pour les retrouver, et il y a encore de la place pour une paire de piles de rechange pour mon APN et pour mon portable qui est tout plat.

    Merci encore Sarah, ton cadeau m'a fait très plaisir.

    Pour mes Pifeuses à moi, Cath ton Pif est prêt il faut juste que je trouve un emballage pour limiter la casse (pas la peine de chercher tu ne trouveras pas), Cinderela c'est à moitié fait et Bleucéanne c'est encore à l'état de projet (mais le projet est bien établi).



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  • Dimanche je vous proposais dans mon article "ma chambre et moi" d'essayer de deviner ce qu'était le bout de cadre qui dépassait.

    Je vous le montre en gros plan, du beau travail n'est-ce pas ?


    Voilà chose dans son entier.
    Il s'agit d'un cadre contenant la photo de mon père à 6 mois (ça remonte donc à l'année 1927). Ce type de photo se faisait beaucoup à l'époque. Les garçons étaient présentés à plat ventre (on reste pudique) et les filles assises.


    De plus près mon papa.


    Et ici ce bébé potelé, c'est ma maman (6 mois aussi mais en 1933). Autour de son cou on distingue en plus de sa médaille de baptême, un collier en perles d'ambre réputées empêcher (je crois) les convulsions.


    Et pour finir, ma pomme un peu plus jeune (3 mois je crois) et un peu plus habillée en 1957. C'est mon père qui me donne le biberon. Admirez l'air concentré du jeune père, les trognons chaussons et mon regard drôlement intéressé par le photographe !



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  • Voilà les réponses à ma petite devinette de samedi. Il s'agit de très jolies illustrations tirées de l'album de Frédéric Jacquet.
    Le chapillon a été trouvé par Zazimuth, Laurence et Guthin. Martine Zabeth ayant donné la réponse également ainsi d'ailleurs que pour la coquerelle et le craquin mais de manière détournée (on sent la pro en devinettes).
    Sinon, comme d'habitude vous avez fait preuve d'imagination (et de gourmandise pour certains notamment Aline, Zazimuth et Francis qui voyaient bien des petits gâteaux ou des pains). Laurence proposait notamment une gamelle à croquettes (la croquerelle) pour un chat coquin (le craquin). Camomille était sur la piste de la sauterelle. La dispute avec les dents de Zazimuth était intéressante également pour la croquerelle. Quant à Guthin il proposait un petit câlin pour le craquin et une coccinelle avec de grosses dents pour la croquerelle.
    Et maintenant, les réponses !


    Le Craquin


    La Croquerelle


    Le Chapillon (il était facile celui-ci)


    C'est plein d'imagination n'est-ce-pas ?


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  • Dans contes barbares l'un des héros (un écrivain) développe une intéressante théorie sur les contes de Grimm et sur les contes en général. Pour lui, il y aurait à la base, comme pour les mythes et légendes (le déluge, les premiers humains), un fond commun qui se serait répandu au monde entier et quand on y réfléchit bien ce n'est pas idiot dans la mesure où certains contes se retrouvent en effet dans des pays très éloignés sous des formes à peu près identiques.

    Autre théorie pleine d'intérêt aussi, certains de ces contes seraient en fait des récits de meurtres en série devenus contes pour les faire circuler et mettre en garde les populations (méfiez-vous de ce que vous ne connaissez pas), Barbe Bleue par exemple.

    Enfin, là il ne s'agit plus simplement d'une théorie, les contes de Grimm lorsque les frères les ont collectés (car ils n'en sont pas les auteurs) étaient beaucoup plus noirs qu'ils ne le sont actuellement, la plupart était des récits de meurtres, de viols (par exemple la Belle au bois dormant n'est pas réveillée par le Prince Charmant, mais violée par lui et laissée endormie et enceinte de jumeaux et c'est l'un d'eux qui réveille sa mère), d'inceste, bref que les bons côtés de l'humanité, mais voyant l'intérêt suscité auprès des enfants, les frères Grimm ont édulcoré les écritures suivantes. Perrault a fait la même chose en France, et beaucoup de ses contes présentent les mêmes caractéristiques que ceux des Grimm.

     



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  • Deux pour le prix d'un aujourd'hui.

    Craig Russel - Rituels sanglants
    Résumé Decitre : Le commissaire Jan Fabel croyait avoir tout vu, il se trompait.
    A Hambourg, un serial killer tue des jeunes femmes en les éventrant à la manière d'un sanglant rituel viking (l'aigle de sang qui consiste à faire sortir les poumons de la cage thoracique et à les déployer comme des ailes). Les meurtres sont suivis d'un e-mail provocateur signé " Fils de Sven ". Des mythes scandinaves aux mafias turque et ukrainienne, le tueur impose à Fabel un parcours initiatique dont il ne sortira pas indemne.


    Craig Russel - Contes barbares

    Résumé Decitre : Une adolescente gît sur la plage. Serré entre ses doigts raidis, un papier jaune où figure une inscription à l'encre rouge : " J'étais sous terre, mais maintenant il est temps de revenir à la maison. " Un couple adultère est retrouvé égorgé dans le Naturpark. Cette fois, deux messages : " Hansel", et " Gretel". Puis c'est le corps nu d'une cover-girl célèbre, chevelure déployée sur l'herbe. Dans sa main, un papier jaune, et un mot : " Dornröschen " - Eglantine, alias la Belle au bois dormant. Le tueur enchaîne les mises en scène macabres, et chaque mystérieux message augmente le désarroi du commissaire Fabel. Jusqu'au jour où, entendant à la radio un écrivain déclarer : " Le conte populaire allemand est un conte de pureté et de corruption, d'innocence et de fourberie ", il décide de relire ses classiques... Après Rituels sanglants, ce deuxième volet d'une spectaculaire trilogie située à Hambourg emprunte son intrigue retorse et troublante aux contes collectés par les frères Grimm au XIXe siècle.

     

    Mon avis : J'attends avec impatience le troisième volet des aventures du plus britannique (il est écossais par sa mère) des Erster Kriminalhauptkomissar allemand. Un peu difficile au début de s'y retrouver dans les services de police allemands, mais ce n'est pas trop gênant. Jan Fabel est un supérieur hiérarchique comme beaucoup voudrait en avoir je pense, laissant les membres de son équipe prendre des initiatives, tout en sachant les recadrer et les protéger au besoin, il sait s'entourer, demande beaucoup, mais donne autant. Un personnage très sympathique et attachant, essayant de concilier ses origines allemande et écossaisse. Si les deux aventures sont palpitantes, j'ai une petite préférence pour la seconde, peut-être parce que les meurtres sont plus "inventifs" et se réfèrent à une tradition qui est aussi la nôtre, nous connaissons plus les contes de Grimm que les mythes vikings, on suit donc mieux le déroulement de l'action. Tout à fait en dehors du côté policier des livres, il est intéressant aussi de noter combien une partie du peuple allemand se sent encore responsable des exactions d'Hittler, pas facile de faire l'Europe.


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