• Ca ne dure que trente secondes, pas la peine de s'en passer ! Et non pour une fois il ne s'agit pas de Lolcats. Un petit clic ici.


    18 commentaires
  • Bon je n'ai certainement pas fait le tour, mais en voilà deux dernières. Deux plongées dans le passé mais pas sur la même longueur d'ondes.

     

     


    12 commentaires
  • Lajemy et son casse-tête nous font plancher cette semaine sur les apéritifs et les cocktails.

    N’ayant pas de photos adéquates, je m’en vais vous conter une petite histoire.

    Il y a un nombre certain d’années, j’intégrai la vie professionnelle et découvris par la même occasion les « pots ». A l’époque, les boissons alcoolisées n’étaient pas interdites au bureau, où si cela l’était, ça restait lettres mortes.

    Bref, j’ai ainsi découvert la vodka-orange (certes je n’étais pas en avance pour mon âge) et j’ai trouvé ce truc hyper bon et plutôt doux, logique, il s’agissait d’une préparation achetée toute faite.

    A quelques temps de là, acquérant mon indépendance, je piquai la voiture de mon pauvre père paniqué et allai traîner mes guêtres toute seule comme une grande fille dans les pays de la Loire.

    En chemin, je m’arrêtai faire un coucou à ma meilleure amie (du côté de Saumur). Avec ses parents, nous allâmes au restaurant et pour l’apéritif, voulant jouer les émancipées, je commandai une vodka-orange.

    Léger problème, cette vodka-orange là était du fait-main, de la vraie vodka à 40 ou 50° et du vrai jus d’orange. Bref, ce machin se buvant comme du petit lait, j’avalai dans la joie et la bonne humeur mon breuvage.

    Assez curieusement, je partis sur un petit nuage gonflé à l’hélium, la tête toute légère, les yeux brumeux, les genoux curieusement flageolants, un sourire niais aux lèvres.

    En face de moi, la mère de mon amie avait commandé quelque chose de probablement aussi musclé que moi et nous passâmes la quasi-totalité du repas, sous les regards consternés de mon amie et de son père, à nous regarder et à éclater de rire absolument sans motif.

    Nous commençâmes à reprendre nos esprits avec le dessert ! Bien heureusement j’étais invitée à passer la nuit chez eux, ce qui, il faut le reconnaître, valait beaucoup mieux et pour moi et pour la voiture paternelle !

    Croyez-vous que la leçon porta ses fruits ? Que nenni ! Quelques années plus tard, mon mari m’invita au restaurant pour fêter notre 1er anniversaire de mariage, et là je fis encore l’erreur fatale, je commandai une vodka-orange et passai tout le repas à rire comme une hyène hystérique. Je dois reconnaître qu’il resta parfaitement zen, il faut dire que nous étions les seuls dans la salle de restaurant (ceci expliquant peut-être cela) et là encore je redescendis sur terre avec le dessert.

    Bref, j’ai ce que l’on appelle le vin gai. Mais je précise que je  bois fort peu, à part du champagne pour les http://blog.crdp-versailles.fr/fjallotbuisson/public/.fourire10_m.jpgfêtes et un petit verre de vin blanc ou rosé au restaurant. Je connais mes limites et je ne vois pas l’intérêt de se rendre malade en buvant trop.

    Ceci dit, je me méfie maintenant de la vodka-orange et lorsqu’il faut prendre un apéro au restaurant je me contente sagement d’un cocktail sans alcool !


    26 commentaires
  • Une nouvelle venue dans la blogosphère Fifille (et sa zhumaine) vous propose un petit concours sur le "plus beau chat de la blogosphère", ça va être serré parce qu'ils sont tous beaux nos poilus. Pour les inscriptions c'est ici.


    16 commentaires
  • http://www.decitre.fr/gi/89/9782258071889FS.gifLes fantômes du palace - Martha Grimes

    Hamlet a dit quelque chose comme "Je pourrais être enfermé dans une coquille de noix et m'y sentir le roi d'un espace infini". C'est l'imagination, comprends-tu, qui fait de toi le roi d'un espace infini.

    Résumé Decitre : Devenue une célébrité à Spirit Lake après avoir élucidé deux meurtres, la jeune Emma Graham, douze ans, est sollicitée par le journal local pour écrire un feuilleton narrant ses aventures. En proie au syndrome de la page blanche, fouillant le passé en quête d'inspiration, elle s'intéresse à un palace, le Belle Rouen, détruit dans un incendie une vingtaine d'années plus tôt. Elle découvre au fil de ses recherches que le bébé d'un couple de riches New-Yorkais y a été enlevé quelque temps avant le sinistre. Une affaire jamais résolue et dont, bizarrement, la presse a fort peu parlé à l'époque. Il n'en faut pas plus pour que le Sherlock en jupon se lance dans l'enquête, remuant ciel et terre pour retrouver des témoins, exhumant de vieux secrets de famille. Après Le Meurtre du lac et Le Crime de Ben Queen, le retour de la très futée Emma Graham, dont la sagacité pourrait en remontrer à Richard Jury, l'autre héros récurrent de la grande Martha Grimes, l'une des reines du roman policier à l'anglaise et habituée de longue date des listes de best-sellers.

    Mon avis : Etonnant, un livre où il ne se passe rien ou pas grand chose mais qui reste passionnant de bout en bout. Une enquête policière qui ne débouche sur rien et d’ailleurs y a-t-il vraiment matière à enquête, pas de meurtres, pas de violence, juste un passé mystérieux qui titille la jeune Emma. On la suit avec beaucoup de plaisir cette surdouée aux réactions délicieusement enfantines parfois (notamment lorsqu’elle persécute l’une des pensionnaires de l’hôtel familial), elle va et vient, échafaude des hypothèses, suit des pistes dont on ne sait si elles conduiront quelque part. Un univers de Martha Grimes différent de celui de Richard Jury avec un côté nostalgique et rêveur très agréable. On peut supposer qu’une suite ne tardera pas.


    4 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires