9 août : Bouches – Pfff, ça ne se fait pas de dévisager les promeneurs pour voir à quoi ressemble leurs bouches. Je vais donc me contenter de celle de ma minette qui est un gouffre sans fond, qui est capable d'émettre une quantité de décibels qui paraît incompatible avec sa petite tête et qui lorsqu'elle miaule fait quasiment le tour de sa tête et non je n'exagère pas, Mademoiselle a toujours faim (bon maintenant comme on dit, quand l'appétit va, tout va !)

Aimable n'est-il pas ?

10 août : La chose à ne pas dire – Si mon travail ne me plaisait pas, la chose à ne pas me dire aurait été "bon retour" ou "alors terminées les vacances" enfin ce genre de joyeusetés, mais comme j'aime ce que je fais, j'ai pris les salutations de bon retour avec bonne humeur.

11 août : Liberté chérie – Pour revenir à ce que j'écrivais pour la journée d'hier, c'est vrai que le retour au boulot ne me pose pas de problème majeur, mais quand même, c'était drôlement chouette de pouvoir aller à la piscine tous les matins et de ne faire que ce je voulais, en l'occurrence rien ou pas grand-chose. Bon, il n'y a plus qu'à attendre les prochaines vacances ou la retraite pour profiter à nouveau d'un peu de liberté et de la chérir.

12 août : Quelque chose qui clignote – Ce serait bien que les conducteurs qui me précèdent (ou qui arrivent en face) pensent à ce truc sur le côté, oui, là l'espèce ce manette qu'on monte ou qu'on abaisse et qui sert à indiquer à l'andouille qui suit que l'on va bientôt couper la route ou ralentir pour tourner, bref pour que la dite imbécile ne se retrouve pas à ne pas savoir s'il faut freiner ou accélérer. Ca m'agace, mais ça m'agace ces personnes qui semblent penser que du moment qu'elles savent où elles vont les autres doivent le savoir aussi. Comme disait mon tonton, inspecteur au permis de conduire, d'un air aimable "le clignotant, c'est un gadget ?"