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Coucou du haïku : Logement de vacances
Après avoir mis le nez à la fenêtre, Lenaïg nous demande de décrire nos logements de vacances. Ci-après du vécu, je vous explique le pourquoi du comment sous le second.
C'est la tempête
Gare la tente va s'envoler
Je dors quand même
Des points rouges partout
La rougeole s'est invitée
Bonnes vacances
Deux histoires vécues par votre servante qui font que je me méfie un peu du camping. Dans le premier cas, camping en bord de mer (la Manche), grosse tempête, ma mère et ma grand-mère cramponnées aux poteaux de la tente pour ne pas qu'elle s'envole, pendant ce temps je dormais du sommeil du juste (bon je n'avais que 10 ans, à cet âge là on dort vraiment bien) et je ne me suis réveillée que lorsque j'ai commencé à avoir les pieds humides.
Dans le second cas, un "sympathique" copain de classe (là j'avais 12 ans) n'avait rien trouvé de mieux à faire que de me refiler la rougeole, avec le temps d'incubation, elle ne s'est déclarée que le premier jour sous la tente. J'ai donc passé ma première semaine de vacances à grelotter par 30° sous la toile.
Tags : haïku
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Commentaires
Des souvenirs qui doivent te faire sourire à présent,mais sur le moment ...
Moi, je garde surtout des souvenu=irs de moustiques , en camping; des heures à les pourchasser !
Bon week end
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Samedi 16 Juillet 2016 à 15:56
Rien ne vaut un bon hôtel où il n'y a que les pieds à mettre sous la table !
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Pas de très bons souvenirs... ma fille est pareille, à 10 ans, rien ne peut la réveiller, sauf un cauchemar. Même le tonnerre, l'orage, la grêle, des pétards, etc. Il y a 2 ans, on a dû aller la chercher au camps car inondations dans tout le terrain... là elle ne dormait pas, impossible pour elle de fermer les yeux :-)
Mon compagnon a aussi un très fort souvenir d'un camps, il devait avoir 12 ans je crois. Il se plaignait de maux de ventre depuis 3 jours... il a quand même fait une course où il a terminé 2ème et le lendemain il devait partir en hébergement chez un autre ado néerlandophone. Finalement, plié en deux, un des moniteurs l'a conduit aux urgences où le médecin de garde n'a même pas attendu les parents pour l'opérer car il faisait une appendicite perforée, eh oui, une péritonite... sans trop râler !!! et dire qu'aujourd'hui, après un rhume, je l'entends dans toute la maison ha ha
Martine, pour ta bannière sur mon blog, pourrais-tu m'envoyer la tienne par mail ? Sinon, je fais une bannière rouge avec en texte quelques mots pour parler de ton blog et ton nom :-)
Merci,
Bonne soirée,
Bisous
Cécile-
Dimanche 17 Juillet 2016 à 11:14
Je dois dire que même si j'ai le sommeil plus léger maintenant, je continue à aimer le bruit de la pluie la nuit, manifestement ces mésaventures ne m'ont pas vaccinée.
Ah les hommes, franchement parler du sexe fort avec eux ! Mon père était pompier de Paris, donc métier à risque, mais il fallait l'entendre se plaindre quand il revenait de chez le dentiste.
Je te remercie pour la bannière je vais essayer de la retrouver dans mon ordi. Il faudra que je pense à remettre les liens des blogamies que j'ai conservées, mais en ce moment je suis en mode flemme, pas toi manifestement avec ton village.
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Bonjour Martine... Ben pas de bons bons souvenirs, mais avec le recul.... merci à toi !
Avec le recul ça fait rire, mais sur le moment je peux te dire que mère et grand-mère étaient lessivées au sens littéral et figuré du terme ! Quant à moi, j'ai développé une dégoût tenace pour la tisane aux queues de cerise que j'ai été obligée d'ingurgiter pendant une semaine !