• L'échelle de Dionysos - Luca Di Fulvio

    Résumé Decitre : 31 décembre 1899. Premier d'une longue série, un carnage à La Mignatta (la Sangsue), repaire des voleurs, violeurs, prostituées et misérables rejetés par la ville, ensanglante le siècle nouveau. Dans cette zone de non-droit, reclus dans leurs somptueuses villas, vivent aussi les riches actionnaires d'une sucrerie. Tel un Dionysos saisi par une orgie de violence, le " monstre assassin " s'est acharné sur le corps de leurs femmes. Muté au cœur de cette poudrière, l'inspecteur Milton Germinal, héroïnomane repenti, tente de décrypter la signature du tueur dans ses rituels macabres. Une descente aux enfers qui le sauvera, ou le mènera à sa perdition. Car celui qu'il traque semble prêt à franchir tous les paliers de l'horreur pour atteindre son but mystérieux... Retrouvant l'émerveillement des lectures adolescentes, Luca di Fulvio nous ramène à la grande tradition du feuilleton dans ce qu'il a de plus noble.Sombre, complexe, original, ce thriller fulgurant aux dimensions de tragédie antique nous fait dire que Dickens, Hugo, Dumas et Zola ont enfin rencontré Thomas Harris !

    Mon avis : Un excellent roman même si on ne sait pas trop si l'action se passe en Italie ou en Angleterre. Des personnages attachants et en effet une action digne des grands feuilletons du XIXème, le style alambiqué en moins. En plus, une sacrée plongée dans le monde des différences entre riches (très) et pauvres (encore plus). Une chose intéressante également, et je crois que c'est la première fois que je tombe sur cette façon de clore un livre : en dernière partie, une fois que l'histoire en elle-même est terminée, l'auteur reprend la génèse des personnages et l'enchainement des faits qui a conduit à ce paroxisme de fureur à l'aube du XXème siècle, c'est plutôt sympa parce que bien souvent on reste sur notre faim à ne pas savoir le pourquoi du comment, ce qui a vraiment forgé la personnalité d'un tueur et dans ce cas précis tout est expliqué et permet une meilleure compréhension de ses actes.


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  • Pour Photomadaire une scène urbaine. J'en ai choisi une en intérieur. Il s'agit du CinéZénith d'Evreux. S'il y a si peu de monde c'est parce que c'était dimanche matin. Vous voulez savoir ce que j'ai été voir ? Eh bien il s'agissait de "Coeur d'Encre" c'est peut être plutôt pour les ados, mais j'ai adoré, forcément, des personnages de roman qui investissent la vie réelle ça ne pouvait que me plaire.


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  • Vous avez bien deviné qu'il fallait aussi regarder à l'envers. Ces charmantes images (pour les petits) sont extraites de l'album "C'est qui" de Marutan.

     

    Et un pingouin se transforme en veau

     

    Un lapin en koala

    Et un chat, en chien




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  • Bon, vous le connaissez ce cher Greame, moi j'adore son petit accent.
    Pas toute jeune cette chanson (1968), mais malheureusement toujours d'actualité.




    Quand tous les affamés
    Et tous les opprimés
    Entendront tous l'appel
    Le cri de liberté
    Toutes les chaînes brisées
    Tomberont pour l'éternité

    On peut chanter tous les poèmes des sages
    Et on peut parler de l'humilité
    Mais il faut s'unir pour abolir injustice et pauvreté
    Les hommes sont tous pareils
    Ils ont tous le même soleil
    Il faut, mes frères, préparer
    Le jour de clarté

    [Refrain]

    On peut discuter sur les droits de l'homme
    Et on peut parler de fraternité
    Mais qu'les hommes soient jaunes ou blancs ou noirs
    Ils ont la même destinée
    Laissez vos préjugés
    Rejetez vos vieilles idées
    Apprenez seulement l'amitié

    [Refrain]

    On ne veut plus parler de toutes vos guerres
    Et on n'veut plus parler d'vos champs d'honneur
    Et on n'veut plus rester les bras croisés
    Comme de pauvres spectateurs
    Dans ce monde divisé
    Il faut des révoltés
    Qui n'auront pas peur de crier


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  • Si, si, promis toute simple cette devinette, tirée également d'un album pour enfants.
    Que voyez-vous ?





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