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366 (ir)réels - 96 du 19 au 22 novembre
19 novembre : Une lumière – On dit de certains qu'ils ne sont pas des lumières, qu'il n'y a pas la lumière à tous les étages, mais en même temps c'est normal s'ils ont été bercés trop près du mur, le filament électrique en a pris un coup.
20 novembre : Manger, boire, fumer, respirer, consommer – Avec la soupe c'est du tout en un : une soupe peut être un consommé (quoi je triche ?), elle fume, on peut à la fois la boire et la manger s'il y a des pâtes alphabet dedans. Bref un produit complet.
21 novembre : Une chance – A manipuler avec beaucoup de précaution ce mot. Il y a celle de cocu, la dernière aussi. Mais la tournure qui me gêne le plus c'est lorsqu'on dit par exemple "il a toutes les chances d'y rester ou de manquer son coup", franchement le mot risque ne serait-il pas plus adéquat ? Bizarre la langue française parfois.
22 novembre : Il suffirait de trois fois rien pour que – J'ai juste un peu réajusté la consigne avec la très jolie chanson de Serge Reggiani "il suffirait de presque rien"
Tags : 366 (ir)réels, chanson, humour
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Commentaires
Je regroupe les jours, c'est un peu contraignant de le faire vraiment tous les jours, même s'il suffit de presque rien en terme de temps !
Ce n'est pas la langue française qui est en cause mais la façon de l'utiliser.
Il est évident qu'il ne faut pas dire : "il a une chance d'y rester ou, moins grave, d'être cocu mais un risque.
Ce n'est pas parce que beaucoup de gens commettent une faute qu'elle doit être entérinée par les lexicographes
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Quatre jours... pour profiter de la vie... Oui, il suffit de presque rien !