• Madame Papotine m'a balancé un tag, pas piqué des hannetons.

    Voici les règles du jeu: Allumez votre baladeur avec toute votre sélection et lancez la lecture aléatoire - Appuyez sur "suivant" pour chaque question - Utilisez le titre de la chanson comme réponse même si ça ne veut rien dire. Pas de tricherie ! - Commentez la réponse en faisant le lien avec la question - Filez le bébé avec l'eau du bain à 4 personnes.

    Gros problème, je n'ai pas de MP3 et je n'ai pas de musique enregistrée sur mon PC, donc, une idée a germé dans mon esprit fertile. En face de chaque question j'ai inscrit deux chiffres, le premier correspondant à un disque dans mes rayonnages de 33 tours (ah c'est sûr que vous n'allez pas trouver beaucoup de nouveautés dans mes réponses, tout pur jus années 80) et le second au numéro de piste sur le-dit disque. Allons-y.
     
    1.Comment vous vous sentez aujourd'hui ?
    Idéali - Jeanne Mas. C'est plutôt bon ça non ?

    2. Irez-vous loin dans la vie ?
    Le plaisir des sens –Raymond Devos. Espérons que ce ne sera pas un sens unique.

    3. Comment vos amis vous voient-ils ?
    Le combat –Jaïro. Aïe Aïe Caramba c'est la révoluzion, bon c'est vrai j'ai un côté rebelle.

    4. Allez-vous vous marier ? 
    Nabucco – Verdi. Ca paraît pas prometteur ça, qu'en pense Aril ?

    5. Quelle est la chanson emblème de votre meilleure amie ?
    La danse de heures – Ponchiolli. Dans Disney c'est la musique du ballet avec les crocodiles, les autruches et les hippopotames, ça correspond très bien à ma copine Cathy qui a un côté carrément loufoque et en même temps beaucoup de charme.

    6. C'est quoi, l'histoire de votre vie ?
    L'homme et la nuée – Angelo Branduardi. Toujours plus haut, toujours plus loin, recherche de l'absolu, houlà

    7. C'était comment, le lycée ?
    My taylor is not rich – Popeck. Il a bien fallu y passer.

    8. Comment pouvez-vous avancer dans la vie ?
    Le village abandonné – John William. Laisser derrière soi les regrets inutiles.

    9. Quelle est la meilleure chose à propos de vos amis ?
    Deux jeunes frères – Greame Allwright. Ne gardons que le titres de la chanson et remplaçons frères par sœurs.

    10. Quoi de prévu ce week-end ?
    La statue d'ivoire – Yves Duteil. Alors là, me demandez pas, je n'ai pourtant pas prévu de visite de musée.

    11. Pour décrire vos grands-parents ?
    Les moulins de mon cœur – Frida Boccara. Je n'ai connu qu'une arrière grand-mère et mes deux grands-mères, mais alors quelles femmes, faudra que je vous en parle.

    12. Comment va votre vie ?
    Carmina Burana – Ca déménage et en plus c'est une de mes musiques préférées.

    13. Quelle chanson jouera-t-on à votre enterrement ?
    Kalinka – Yvan Rebroff. Va y avoir de l'ambiance, je ne vous dis que ça, mais c'est mieux non ?

    14. Comment le monde vous voit-il ?
    La rose, l'aubépine et le genévrier – Marc Ogeret. Gare ça pique.

    15. Aurez-vous une vie heureuse ?
    Sacrée bouteille – Greame Allwright (ben oui j'étais fan). Juste un peu de pétillant de temps en temps promis.

    16. Qu'est-ce que vos amis pensent vraiment de vous ?
    L'arbre – Bilitis. Pas mal ça, je crois en effet à l'amitié et elles savent qu'elles peuvent s'appuyer sur moi.

    17. Est-ce que les gens vous désirent secrètement ?
    Je vous aime – Jean Ferrat. On ne se bouscule pas s'il vous plait !!!

    18. Comment me rendre moi-même heureux ?
    Les âmes libres – John William (oui là aussi une petite fixette). C'est tout-à-fait ça en tout cas, me sentir libre de vivre ma vie.

    19. Qu'est-ce que vous devriez faire de votre vie ?
    Le misogyne – Serge Lama. Bon, ben j'ai plus qu'à me retirer au Carmel là. Plus sérieusement arrêter de prendre les problèmes des autres trop à cœur, un peu d'accord, trop bonjour les dégâts.

    20. Aurez-vous des enfants un jour ?
    La Varsovienne – Les Chœurs de l'armée russe. Bon là nous passons plutôt aux petits-enfants, donc mon fiston est prié de me trouver une gentille belle-fille slave.

    21. Sur quelle chanson vous feriez un strip-tease ?
    Le cirque – Mouloudji. Ca risque de promettre ça, non ? Le clown se débarrassant de ses grandes chaussures et de son nez rouge.

    22. Si un homme dans une camionnette vous offrait un bonbon, que feriez-vous ? 
    Playing with the boys – Top gun. Ben, il a plutôt intérêt à les garder ses bonbons le loustic.

    23. Qu'est-ce que votre maman pense de vous ?
    Les bonshommes – Pia Colombo. Rigolo ça, je pense que ma mère devait vouloir avoir un garçon, parce que pendant toute mon enfance, son petit mot tendre pour m'appeler c'était "bonhomme".

    24. Quel est votre plus sombre secret ?
    Dans un amphithéâtre. Stop on ne fouille pas, ou alors à vos risques et périls, pourquoi croyez-vous que j'aime autant les romans policiers ??? (ici placez un rire sinistre).

    25. Quelle est la chanson emblème de votre ennemi mortel ?
    Charivari – Serge Lama. C'est bien ce que font les ennemis, foutrent la pagaille. Ceci étant dit ennemi mortel, j'ai pas ça en magasin (où alors la famille de la réponse précédente, mais ils ne m'ont pas encore trouvée).

    26. Quelle est votre personnalité ?
    J'entends, j'entends –Jean Ferrat. C'est pas mal non plus ça, je sais entendre et écouter, ça va bien avec la curiosité et le besoin d'apprendre.

    27. Quelle chanson jouera-t-on à votre mariage ?
    Autant d'amour, autant de fleurs - Jean Ferrat (ben oui, j'ai tous ces disques alors forcément, il revient régulièrement). Plutôt pas mal comme choix.

    28. Où a eu lieu votre premier rendez-vous ?
    Bateau paumé – Rose Laurens. Sûr qu'on ne devait pas avoir l'air fin, mais plus prosaïquement au cinéma devant les Misérables avec Léo Ventura, remarquez elle était un peu paumée Fantine.

    29. A quoi ressemblerez-vous quand vous serez vieux / vieille ?
    Eloge de la fatigue – Robert Lamoureux. Là j'ai un peu triché, en réalité j'étais tombée sur le sketch "Promenade aux îles", mais pour le moment j'ai plus envie de me rouler les pouces que de me balader.
     
    Bon, je ne me suis pas trop mal débrouillée je trouve.    
    Alors maintenant les amateurs de musique peuvent s'y mettre, je ne sais pas moi, par exemple Aril, Edith qui aiment la musique, Françis histoire de voir si notre dessinateur de génie travaille en musique, et Souvenirs80 qui en connait un rayon là-dessus. Mais comme d'habitude ce n'est pas une obligation, et s'il y en a d'autres qui veulent essayer qu'ils n'hésitent pas. Eventuellement si Mic ne sait pas quoi faire, elle peut aussi tenter le coup avec un petit coup de patte de Topaz.
     
     

     


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  • Maintenant je sais ce que ressent un pain de fimo.

    Longuement pétri pour l'assouplir et le rendre malléable. 

    Impitoyablement malaxé au rouleau pour être bien sûr qu'aucun grain trop gros ne subsiste et qu'aucune aspérité suspecte ne vous échappe.

    Le plus terrible, passé encore et encore dans la pasta machine, dans un sens, puis dans l'autre, à des épaisseurs de plus en plus fines, aplati entre deux plaques froides (pour être sûr qu'il ne reste pas de bulles) de laquelle il se décolle avec délice mais appréhension et s'il fallait y retourner ? Pourvu que le résultat ne nécessite pas un nouveau passage entre les rouleaux de la machine.

    Et cerise sur le gâteau, enduit, dégoulinant de fimo liquide, froide, visqueuse, collante...

    Et enfin, la libération il n'y aura pas besoin d'un ponçage, tout va bien ouf, prochain passage l'année prochaine, le temps pour le pauvre petit pain de fimo de se refaire une santé et de reprendre un peu de volume.

    Bon sang, mais qu'est ce qu'elle nous délire encore la Martine ???

    Rien, je sors d'une mammographie, mais vous aviez dû comprendre, surtout vous les filles.

    Pour ceux qui veulent en savoir plus sur le travail de la Fimo allez faire un tour ici

     

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  • Dans mes articles d'hier sur les odeurs, AnneSo me faisait remarquer qu'il ne fallait peut-être pas mettre trop en pratique celle de Gustave Flaubert, que je rappelle
    "Odeur (des pieds) : signe de santé"
    et comme Françis, de son côté, me faisait remarquer fort à propos que de nombreux souvenirs passent par l'odorat, je me suis remémorer une petite anecdote que je me fais un plaisir de vous rapporter ici (bon sang qu'est ce que je cause bien).
    Après l'obtention du concours qui m'a permis d'intégrer la fonction publique (pas de réflexion merci), j'ai eu obligation de faire des formations "en veux-tu en voilà" pendant 2 ans, seul petit problème si la première année on trouve un certain nombre de choses intéressantes à faire, ce n'est plus la même chose ensuite. Bon, vous dites-vous, elle est où cette histoire d'odeur. J'y viens, j'y viens.
    Ne sachant plus trop comment boucher les trous, j'ai décidé de me faire avant les grandes vacances un petit stage pas trop fatigant "Word pour confirmés" (farpaitement je suis une pro du clavier, je frappe avec tous mes petits doigts).
    Me voici donc qui débarque au centre de formation par une chaude journée de début juillet (si, si il y a quelques années ça existait encore).
    Je choisis un PC et je m'installe. Le formateur et 4 autres stagiaires débarquent dans la salle laquelle est plutôt riquiqui.
    Après nous être présentés, nous commençons à travailler.
    Au bout de quelques temps une odeur bizarre commence à sinuer jusqu'à mes sinus jusqu'àlors sereins. SSSnnnifff, ça sent drôle, enfin quand je dis drôle, soyons claires et nettes CA SCHLINGUE grave. Mais d'où viennent ces effluves pestilentiels (j'ai vérifié effluve est bien masculin) qui titillent outrageusement mes délicates narines ? Certes nous sommes dans une grande ville polluée, mais quand même, là je me croirais dans ma belle campagne à la saison de l'épandage.
    Après avoir discrètement regardé un peu partout (pour le cas où un rat mort serait en train de se décomposer dans un coin), mon regard effaré se pose sur les pieds nus dans des chaussures tout cuir synthétique de mon voisin, voilà d'où viennent ces odeurs, le monsieur, je peux vous le dire ETAIT EN PLEINE SANTE.
    Pour faire court et n'ayant pas osé lui parler de son petit souci d'hygiène (encore un problème de société ça, ne pas oser dire les choses pour ne pas choquer les autres) j'ai passé les deux jours de stage (pas moyen le lendemain d'aller m'installer ailleurs notre travail était enregistré sur le PC choisi le 1er jour) à m'enduire le nez d'un petit produit génial pour les maux de tête à base de menthe et de lavande (Migranel pour ceux que ça intéresse) et que je trimballe toujours dans mon sac, en plus l'odeur me permettait d'éviter de rebalancer petit déjeuner et déjeuner sur les pieds odoriférants de mon estimé voisin (heureusement que je suis une lectrice assidue de polar, mais si vous savez bien le vicks lors de autopsies). En plus pas moyen d'ouvrir les fenêtres parce que nous trouvions en bordure d'un boulevard très passant et très bruyant.
    Seul petit inconvénient, ce produit qui agit en alternant sensation de chaud et de froid est quand même, à haute dose comme c'était le cas, un peu agressif pour la peau. Mes co-stagiaires ont probablement pensé que j'allais régulièrement me faire des lignes de coke dans les toilettes pour avoir un nez dans cet état ou alors pour les plus indulgents que je devais me tenir un rhume des foins hyper costaud.
    Et les autres, me direz-vous fort justement, ils n'ont rien senti ? Si probablement, mais se reporter à ma remarque sur le problème de société, de plus mon odorant voisin et moi-même étions installés à la même table, laquelle était séparée des autres par des montants métalliques devant et sur les côtés qui devaient leur épargner le plus gros de l'attaque bactériologique et la concentrer sur ma pauvre petite personne.
    Moralité : Avant de vous asseoir à côté de quelqu'un, pensez à vérifier qu'il n'est pas en trop bonne santé et qu'accessoirement il porte des chaussettes.

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  • J'avais décidé de ne vous donner la solution à mon petit jeu que jeudi, mais je vais avoir pitié, après tout on est le jour de Marie aujourd'hui, soyons bonne.
    Mais, étant quand même un peu sadique, je commence par vous mettre mes citations du jour qui ont un rapport avec mon petit objet, ce qui vous laisse encore une petite chance de trouver.
    Et la solution elle-même vous l'aurez, allez, vers 14 h 30, ça va comme deal ?
    Désolée Aril ta petite surprise ce sera pour demain.

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  • Suite à ma devinette Vrai ou Faux, il m'a très gentiment envoyé ce dessin (pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore, s'il en reste, son adresse, c'est à droite).

    Bon, quand même une ou deux précisions. (pas vraiment utiles, mais comme ça vous ne voyez pas le dessin de Francis trop vite, faut faire durer un peu le plaisir quand même)
    Je n'ai jamais réussi à monter les jambes à l'équerre, je ne suis pas Hulk quand même, mais certains de nos pompiers le faisait sans problème.
    Les frisettes, bouh ouh ouh, j'en ai jamais eu, je frise à plat. En plus, à l'époque j'étais un vrai garçon manqué alors le noeud dans les cheveux et les dentelles, c'était pas trop le truc de la maison (soyons juste ce n'est toujours pas trop le truc de la maison)
    Surtout, j'espère que je n'avais pas l'air aussi satisfaite de moi en enfonçant tous ces pauvres garçons !!! (Encore que ... avec mon mauvais fond, va savoir.) Une chose est sûre ce n'était généralement pas la peine de leur montrer deux fois (trop la honte de se voir damer le pion par une gamine).
    Et enfin, comme je le précisais dans un de mes commentaires, si je suis costaud du côté des bras (pas trop mal du côté du cerveau, eh ho, c'est mon blog, je suis parfaitement autorisée à m'envoyer des fleurs) en revanche côté gambettes, c'est plutôt Flagada le boxeur aux jambes molles. Mes profs de gym n'en sont jamais revenus, 12 secondes pour faire un 60 mètres (ou était-ce 50 mètres), mes condisciples mettaient tous moins de 10 secondes et la seule fois où j'ai réussi à sauter le mètre (attention avec réception sur du sable hein, pas sur un tapis de mousse) je me suis fichu le genou en l'air.
    Côté sports d'équipe :
    au hand je restais dans les buts (j'étais une excellente gardienne, pas beaucoup de chemin à faire ça me convenait parfaitement) je ne voyais pas l'intérêt de me taper toute la longueur du terrain en courant après une baballe
    au volley déplacements limités et smash canons donc parfaitement dans mes cordes
    au basket trop petite je ne touchais jamais le ballon (et de toutes façons jamais pigé les règles)
    balle au prisonnier, excellente quand il fallait tirer dans le tas (vous ne le saviez pas je dois avoir un petit côté sadique).
    Et quand il fallait faire des tours de piste en courant, l'ovale du stade se transformait généralement en rectangle (le tout était de ne pas se faire piquer par le prof, sinon bing un tour de plus).
    Le sport à l'école c'était donc pas trop mon truc.
    En revanche, j'avais un papa sportif (champion de France militaire du 400 mètres haies plusieurs fois, excusez du peu) et il rêvait d'avoir une fille sportive (il m'aurait bien vu prof de gym) alors il n'a pas ménagé sa peine, il m'a appris à nager, à faire du vélo, le patin à roulettes ça c'est moi toute seule sur le carrelage de la cantine de la caserne (ça roulait super ce truc et en plus le barman m'abreuvait en Orangina et me nourrissait à grands coups de Nuts), ensuite il y a eu le ski et le patin à glace, vous allez me dire que pour ça il faut se servir de ses jambes, certes mais elles ne sont pas toutes seules, il y a  des accessoires qui aident.
    Et maintenant je continue assidûment la nage, la gym volontaire (sans Véronique, ni Davina), le tir à l'arc (j'ai dû m'arrêter quelques temps pour cause de lunettes à verre progressif, la cible se trouvait pile poil à l'endroit un peu flou qui délimite les deux types de vision, pas extra pour viser quoi, et vu le prix des lunettes faut attendre un peu pour faire refaire des lunettes vision de loin) et récemment le roller (se reporter à la remarque précédente concernant les accessoires).
    Mais attention, je fais ça pour le plaisir alors à dose modérée, pas de sur-entraînement, je tire ma flemme quand j'en ai envie et je ne vais jamais au-delà de mes possibilités ou juste un tout petit peu (sadique peut-être, mais pas maso).
    Bon bref vous vous êtes farci suffisamment de prose nombriliste.
    Je vous laisse, ENFIN, découvrir le dessin de Francis à qui je dis à nouveau MERCI FRANCIS, t'es un gars sympa, même si tu ne nourris pas ton chat en premier.


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