• Pour répondre à Noni qui m'a fort gentiment laissé le week-end pour réfléchir.

    La luxure: qu'est ce qui vous fait fantasmer?

    Hhhmmm un séjour en thalassothérapie à se laisser aller, à se faire masser, patouiller, dorloter.

    L'orgueil: de quoi êtes-vous la plus fière?

    Là y a pas photo, de mon fils bien sûr (bon faut dire que je l'ai quand même bien réussi).

    La colère: qu'est-ce qui vous met hors de vous?

    Oh là là, un sacré paquet de trucs. Les mecs bourrés de testostérone qui essaient de me griller la priorité en bagnole, les débiles qui caillassent les pompiers (fidélité oblige à mes jeunes années passées dans une caserne de Pompiers de Paris), les gens sans-gêne qui se garent sur deux places ou ne ferment pas la porte en partant de votre bureau, les politiciens qui profitent de tout et ne font rien en échange, les motards qui trouveraient normal que je roule dans le fossé pour leur permettre de me doubler sans avoir à franchir la ligne continue à 90 kms à l'heure quand c'est limité à 50. En règle générale ceux qui font du mal aux enfants, aux animaux, aux femmes, l'injustice et l'irrespect.

    La gourmandise: quels sont vos plats préférés?

    Ceux que je n'ai pas à préparer moi-même, je suis bon public, j'aime tester les nouveautés, avec une préférence peut-être pour le sucré/salé (bref à peu près tout sauf les tomates crues j'ai horreur de ça). Sinon, un bon morceau de pain frais beurré peut faire mon bonheur sans problème.

    L'avarice: cigale ou fourmi?

    Cigale pour ceux que j'aime, fourmi pour moi, d'autant qu'en ce moment je vois se profiler à l'horizon un changement de chaudière et de voiture (15 ans toutes les deux), les temps prochains vont être durs.

    L'envie: qu'est-ce qui vous rend jalouse?

    Ceux qui savent dessiner (moi j'en suis encore au bonhomme bâton) ça doit être super de pouvoir reproduire sur un morceau de papier les choses qu'on voit ou qu'on imagine.

    La paresse: comment aimez-vous vous relaxer?

    Dans mon fauteuil (ou dans mon lit avec 4 oreillers dans le dos) avec un bon livre (et avec, si elle le veut bien, ma Thalis sur les genoux).

    Bon ensuite, si j'ai tout compris il faut passer le bébé à d'autres bloggeurs. Je ne sais pas trop à qui transférer. Eventuellement s'ils le veulent bien (rien d'obligatoire) et s'ils ne l'on pas encore fait : à Pat, Francis (il a un peu d'avance pour la colère), Martine Zabeth (à son tour de répondre à une devinette), Papotine (mais elle part en vacances).Tout ce petit monde est dans mes promenades à droite.


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  • Petite histoire qui vient de m'arriver.
    Je peux vous dire que s'il y a encore des gens honnêtes (se reporter à un article d'il y a un peu plus d'une semaine), il y a aussi de gens complètement stupides.
    Ce matin, séance de roller. La semaine dernière j'avais la flemme et encore un chouia mal à une fesse malmenée le samedi précédent donc j'étais restée tranquillement à la maison.
    Entre ces deux samedis (celui où j'étais présente et celui où j'étais absente, vous me suivez là ?) la secrétaire du club a envoyé par messagerie une invitation à une randonnée.
    Ce matin, j'arrive pour la séance et voilà que plusieurs de mes collègues de roulage me demandent si je vais bien, ce qui s'est passé exactement la semaine précédente. Bref, me voilà avec plein de points d'interrogation autour de la tête.
    Après explications et vérifications il apparaît que le message avait été envoyé à une mauvaise adresse. Au lieu de martine.27, il avait été adressé à une martine.7 et cette stupide et malveillante créature n'avait rien trouvé de mieux à faire (elle a dû trouver ça hilarant cette cruche) de répondre que j'avais eu un grave accident et qu'il était inutile d'essayer de me recontacter, vous voyez un peu l'impact sur des personnes qui sans être des amis à part entière, sont quand même des relations proches et amicales.
    Vous y croyez-vous à une imbécilité pareille, faut vraiment être malade !!!???
    Je m'en vais de ce pas lui expliquer ma façon de penser à cette idiote qui rabaisse le prénom de Martine (pas digne d'en être une et toc). En tout cas, si vous m'écrivez, n'oubliez pas le 2.


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  • Avez-vous remarqué le nombre de chausse-trappes qui parsèment notre belle langue. 
    Quelques exemples ?

    Lorsqu'un pain sort tout chaud de chez le boulanger, on dit qu'il est frais.
    Lorsque quelqu'un se meurt, on dit qu'il s'éteint. Lorsqu'il est mort, il devient feu Monsieur Bidule.


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  • Grosse bêtise de ma part aujourd'hui. Après avoir fait mes courses habituellement, soit je mets mon sac à main directement sur la plage arrière de la voiture pendant que je la charge, soit je le mets dans un des sacs à provisions.
    Allez savoir ce qui m'est passé par la tête aujourd'hui, mais je l'ai suspendu au petit crocher qui se trouve devant le caddy. Je décharge mes courses et je me dis, "tiens il ne faut pas que j'oublie de reprendre mon sac".
    Voiture chargée et hop direction la maison, arrivée devant mon portail je commence à sortir mes courses et je cherche mon sac pour récupérer mes clefs. Et là, HORREUR, pas de sac, absent à l'appel ce fichu sac. En catastrophe je fourre mes achats dans le garage (clé à part) et je redescends comme une folle direction l'hyper-marché, heureusement je n'habite pas loin 3/4 kilomètres.
    Je me gare au même endroit, mais bien sûr pas de sac qui pendouille au petit crochet.
    Ventre à terre, direction l'accueil qui me renvoie au gardien, et là OUF, mon petit sac m'attend gentiment, garni de tout son contenu. Voilà des gens honnêtes, eh bien il y en a encore. Merci à la personne anonyme qui a rapporté mon sac au magasin, non seulement il y avait tous mes papiers dedans, chéquier et carte bleue bien sûr, mais beaucoup plus important mes clefs de maison et dans la maison une minette qui attendait son casse-croute du midi. Donc, faire faire un autre jeu de clé et le planquer dans le garage ou le laisser à une personne de confiance et la prochaine fois mon sac je me le tiens entre les dents.

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  • Voilà une façon de s'exprimer que je trouve parfois irrésistible, le politiquement correct, bien sûr tout le monde connaît le mal ou non voyant, le mal ou non entendant, bon quant à savoir ce qu'il a de péjoratif à dire de quelqu'un qu'il est aveugle ou sourd, je ne vois pas bien (pardon je mal-vois), tiens d'ailleurs comment dit-on pour le muet ?

    Le nègre américain quant à lui est devenu un noir américain, un homme de couleur pour finir (pour le moment) en afro-américain. Le peau-rouge, c'est transformé en indien puis en natif américain (cette invention là est quand même superbe).

    Vous connaissez également le demandeur d'emploi (bon là c'est vrai ça évite d'enfoncer le clou pour des personnes qui connaissent des difficultés).

    Le non ou mal comprenant, pas la peine de faire un dessin non plus.

    En revanche en voilà 4 déjà beaucoup moins évidents, à vous de me proposer le terme désormais incorrect :

    Là facile : la chevelure d'appoint

    Un peu plus difficile : une personne à verticalité contrariée et le syndrome du front étendu

    Et le tout nouveau que j'ai appris il y a peu : l'obstination déraisonnable.

    Aller creusez votre matière grise.


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