• Bon, il faut l'avouer Simon ne fait pas grand chose pour éviter les tentations pour son sacré chat.


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  • Lenaïg nous jette dans le bain. Photos de ma galerie personnelle, mon amour de l'eau est toujours bien présent.

    Années cinquante

    Premier bain de bébé

    Faut bien y passer

    Années soixante

    Découverte de la mer

    Merci mon papa


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  • Lenaïg nous demande d'ouvrir la cage aux oiseaux. Toutes ces photos sont personnelles.

    L'eau est trop froide ?

    Ou les petits trop bruyants ?

    Se mettre à l'abri

    Coucou du haïku : Oiseau

    Par cette belle journée

    Un coucou au photographe

    Et ensuite adieu

    Coucou du haïku : Oiseau

    Avant de ramer

    Echauffement nécessaire

    Oubliées les crampes

    Coucou du haïku : Oiseau

    Un merle impatient

    Quand vont venir les cerises ?

    Yin Yang être zen

    Coucou du haïku : Oiseau


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  • Lenaïg nous demande de célébrer la vie.

    Je vais me contenter d'un seul poème accompagné d'une photo personnelle

    Mort présente dans la vie

    Il faut l'accepter

    Vivre chaque jour

    Coucou du haïku : Vie


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  • Après avoir mis le nez à la fenêtre, Lenaïg nous demande de décrire nos logements de vacances. Ci-après du vécu, je vous explique le pourquoi du comment sous le second.

    C'est la tempête

    Gare la tente va s'envoler

    Je dors quand même

    Coucou du haïku : Logement de vacances

    Des points rouges partout

    La rougeole s'est invitée

    Bonnes vacances

    Coucou du haïku : Logement de vacances

    Deux histoires vécues par votre servante qui font que je me méfie un peu du camping. Dans le premier cas, camping en bord de mer (la Manche), grosse tempête, ma mère et ma grand-mère cramponnées aux poteaux de la tente pour ne pas qu'elle s'envole, pendant ce temps je dormais du sommeil du juste (bon je n'avais que 10 ans, à cet âge là on dort vraiment bien) et je ne me suis réveillée que lorsque j'ai commencé à avoir les pieds humides.

    Dans le second cas, un "sympathique" copain de classe (là j'avais 12 ans) n'avait rien trouvé de mieux à faire que de me refiler la rougeole, avec le temps d'incubation, elle ne s'est déclarée que le premier jour sous la tente. J'ai donc passé ma première semaine de vacances à grelotter par 30° sous la toile.


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