• Spirales infernales (16 nouvelles cultes de terreur) - Jeffery Deaver

    Résumé decitre : Une femme d'une beauté envoûtante cherche à se débarrasser de l'homme qui la harcèle ; une petite fille implore son père de ne pas aller pêcher au bord d'un lac où rôde un tueur en série ; le criminologue Lincoln Rhyme dévoile le secret d'une disparition macabre à Noël...
    Surprenantes, troublantes, inquiétantes et haletantes, ces nouvelles claquent comme des tirs de sniper. Dans chacune, le bien bascule soudain dans l'atrocité et le mal est poussé à l'extrême. Dans la lignée de O. Henry et Edgar Allan Poe, ces intrigues au style ciselé, parfaitement rythmées, entraînent le lecteur dans des Spirales infernales.
     

    Mon avis : Rien à dire de plus que la deuxième partie du résumé decitre. C'est un excellent livre, chaque nouvelle fait mouche. Entre les coupables moins coupables que les innocents, les victimes pas si victimes que ça, les coupables qu'on est plutôt satisfaits de voir s'en tirer, pas le temps de souffler. Ces nouvelles sont une façon de voir la justice qui n'a rien à voir avec la morale. De toutes façons à chaque fois que vous avancez un pronostic sur qui est qui et qui a fait quoi vous vous faites avoir dans les grandes largeurs (sauf pour la première nouvelle où j'avais deviné ce qui se passait réellement, après ça zéro pointé). Bref, si vous aimez les nouvelles et les policiers faites vous plaisir.


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  • Pour revenir sur mon article de ce matin, Edith a eu une excellente idée. Pourquoi ne pas parler plutôt des "Justes" ces personnes qui ont eu le courage de dire non au péril de leur vie. Dans le prolongement de cette idée, voilà la mienne. Les enfants sauvés par ces Justes ont bien dû être répertoriés aussi non ? Alors, si nos enfants apprenaient plutôt ce qu'ils ont fait de leur sursis, de la renaissance qui leur a été accordée, ça ne serait pas mieux ? Leur faire découvrir l'espoir, plutôt que le désespoir ? La bonté et le courage, plutôt que la cruauté et la barbarie ? Ca ne serait pas plus constructif et formateur ? En plus, peut-être pourraient-ils rencontrer ces personnes ou leurs descendants, parce que le geste des Justes a aussi permis à d'autres êtres humains de venir au monde.

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  • Nouvelle consigne de Paroles Plurielles, commencer un texte par "J'ai sorti mon cahier à couverture rouge de mon grand sac" et pour corser un peu les choses arriver à caser la photo de Coumarine suivante

    J'ai sorti mon cahier à couverture rouge de mon grand sac.

    Ces deux cadenas qui m'empêchait d'entrer dans la propriété n'allaient pas m'arrêter longtemps, non mais !

    De mon grand sac, je tirais également un crayon.

    Je me mis à dessiner des clefs.

    Je fouillais à nouveau dans mon sac et en retirais une paire de ciseaux.

    Hop, voilà les clefs découpées.

    Nouveau passage dans mon sac et voilà la machine outil spéciale fabrication de clefs.

    Un autre farfouillage amena à la surface un beau morceau d'acier.

    Après, enfantin, sortir la dynamo du sac, brancher le tout, un peu de doigté et toc, deux belles clefs neuves pour ces sacrés cadenas.

    Et voilà, je range cahier, crayon, ciseaux, machine outil et dynamo dans mon grand sac et direction l'entrée.

    Soyons juste, j'ai fait tout ce travail juste pour le fun, parce qu'en réalité, il me suffisait d'escalader la grille pour passer, voire de sortir le parapluie ascensionnel.

    Mais, comme on dit, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

    D'où me vient ce sac étonnant, d'une amie très chère et très débrouillarde qui s'appelle Mary.

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  • Mademoiselle ma Thalis m'en a fait une bien bonne hier soir.

    D'abord poser les bases :
    1.  Le vendredi et le samedi soir, c'est télé et au lit plus tard que d'habitude.
    2. J'ai un jeune homme qui déteste parler au téléphone mais qui aime bien tailler une bavette avant d'aller se coucher (et comme il ne rentre que pour le week-end, nous ne sommes pas couchés avant 11 h 30).
    3. Au pied de mon lit j'ai un plaid léger sous lequel Thalis vient se glisser en cours de nuit.

    Donc hier soir après NCIS et deux épisodes enregistrés des Experts, je me fourre dans mon lit et mon fiston se met à me raconter sa semaine et d'autres choses.

    Et tout à coup, après un bon quart d'heure de papotages, voilà-t-y pas que Mamzelle arrive comme une dingue, bondit sur mon lit, se glisse sous sa couette à elle, après nous avoir jeter un coup d'oeil limite "bon les mômes maintenant c'est l'heure d'aller au lit, j'ai sommeil moi".

    Bref, nous n'avons pas insisté, Jérôme est parti sagement dans sa chambre, tandis que je m'allongeais pour mettre mes jambes comme Mademoiselle apprécie.

    Non mais je vous jure, qu'est ce qu'elles ne nous font pas faire ces sacrées bestioles. Bon remarquez je ne vais pas me plaindre, Thalis a un effet somnifère, je dors toujours mieux quand elle est là !

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  • "J'ai demandé au gouvernement, et plus particulièrement au ministre de l'Education nationale, Xavier Darcos, de faire en sorte que, chaque année, à partir de la rentrée scolaire 2008, tous les enfants de CM2 se voient confier la mémoire d'un des 11 000 enfants français victimes de la Shoah", a déclaré Nicolas Sarkozy lors du dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif). "Rien n'est plus émouvant pour un enfant que l'histoire d'un enfant de son âge, qui avait les mêmes jeux, les mêmes joies et les mêmes espérances que lui", estime le chef de l'Etat.
     
    Je ne sais pas ce que vous en pensez ? Quant à moi je suis un peu partagée.
    L'initiative en elle-même me paraît intéressante, il est important de ne pas oublier ces enfants.
    Mais, est-ce une bonne idée de demander à des enfants de 10 ans de porter cette charge, ne risquent-ils pas d'y perdre encore un peu de leur innocence et de leur enfance, déjà que notre monde n'est pas tendre pour eux, ne risquent-ils pas de se mettre dans la peau d'un enfant mort dans des conditions atroces !
    En revanche, confier ce travail de mémoire à des adolescents (à partir de 14 ans par exemple) serait peut-être une bonne façon de les responsabiliser face aux intégrismes de toutes sortes.
     

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