• Dernières nouvelles de l'au-delà - Frédérick Tristan

    Résumé Decitre : Gambier, psychanalyste renommé, reçoit d'un de ses patients un étrange manuscrit censé révéler le secret du parcours des êtres humains après leur mort. Se plongeant dans ce récit, le praticien découvre des personnages qui, peu à peu, vont le conduire tout vivant dans un singulier théâtre, réplique de l'existence, mais régi par des logiques inattendues. C'est ainsi qu'il rencontrera la fabuleuse Grande Madame, le milliardaire Frazer, tout imbu de son pouvoir, Ascaride, la belle et frivole mondaine, l'écrivain Malonne à la recherche de sa femme actrice disparue, Marco Cesare, le marin amoureux d'une ombre, le prestigieux Zanobi hanté de rêves océaniques, et surtout Némo, modeste comptable aux prises avec ses redoutables souvenirs d'enfance. Qui est mort et qui est vivant ? La mystérieuse machine qui ordonne tout ce monde est-elle détraquée ? Heureusement, lors de ce voyage dans les strates de la réalité et du songe, les personnages retrouveront Béatrice, leur premier amour, qui redonnera un sens à l'énigme de leur tumultueuse descente en ces enfers.
     

    Résumé Electre : Un manuscrit, censé révéler le secret de la destinée des êtres humains après leur mort, est donné à Gambier par l'un de ses patients. Le psychanalyste renommé se plonge dans le récit et rencontre des personnages qui l'entraînent dans un théâtre. Réplique de l'existence, celui-ci est régi par des logiques inattendues. Mais il semble que tout se détraque. Qui est vivant, qui est mort ?

    Mon avis : Déroutant, très déroutant ce livre. On a parfois envie de l'abandonner mais on ne peut pas s'empêcher de le reprendre histoire de comprendre où l'auteur veut en venir. On a en fait la curieuse impression de lire un rêve, d'être dans cette situation bizarre où ce qui se produit, bien qu'illogique est parfaitement normal. Les personnages se croisent, se mêlent, on ne sait plus qui sont les vivants, qui sont les morts, si on est dans la vraie vie ou dans un roman dans le roman. Bizarre mais prenant en fin de compte.

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  • 1er mars, voilà un an que j'ai débuté ce blog. En fait, j'avais commencé un peu plus tôt, mais ma bannière m'avait donné du fil à retordre et mon 1er article date bel et bien du 1er.

    Je n'en reviens pas. J'ai réussi à mettre un article par jour mine de rien, donc je me congratule, y a pas de raison. Ce qui nous fait actuellement 830 articles (soit 616 si on enlève les citations).

    Assez curieusement, ce sacré blog a fait ce qu'il a voulu sans moi. J'avais prévu au départ de présenter mes créations manuelles, mes lectures et les facéties de ma chatoune.

    En fin de compte je m'aperçois que mis à part la rubrique "la citation du jour" que je délaisse en ce moment, "la page d'écriture" vient largement en tête avec "les billets" et "les sons et images", mais "la chatière" et "la bouquineuse" se maintiennent bien.

    Bon les recettes on fait un large fiasco, faut dire que je ne suis pas une grande cuisinière, je préfère manger ce que les autres préparent.

    Faut aussi que je pense à remplir mes "vitrines" de collection.

    Quant aux légendes urbaines familiales je n'ai pas trop expliqué ce que c'était. En fait, je voudrais vous présenter les petites anecdotes qui circulent dans la famille certaines sont très certainement enjolivées, mais c'est ce qui en fait le charme, et également mes propres souvenirs avec la même réserve que précédemment. Avec le recul, je me rends compte qu'il y a un tas de choses que j'ignore sur mes parents et mes aïeuls et qu'il est maintenant trop tard pour y remédier, c'est bien dommage alors je vais rassembler mes petites histoires, qui sait peut-être un jour cela fera plaisir à mes petits-enfants.

    Du côté des commentaires un merci tout particulier à Martine Rose et à Chrisalain qui ont été mes premières lectrices régulières (Je n'oublie pas Pat, Françoise, Anita, Nanou et Zab qui ont fait les premiers commentaires mais ce sont des amies qui savaient que je commençais un blog et qui sont venues m'encourager)

    Pour le moment j'en suis à 3.481 commentaires et j'ai du répondre à peu près à tous. En visiteurs uniques du côté des statistiques on m'en annonce 43.206 mais sur mon compteur il y en a 23.051, bref pas facile à comprendre.
    Pour les statistiques mon BR reste en moyenne à 80, ce qui n'est pas mal je trouve.

    Et dans les articles les plus lus je suis toujours étonnée de voir que Pierre Repp reste en bonne position. Les articles répertoriés dans "mes préférés à moi" ont aussi une "bonne audience"

    Du côté des recherches je n'ai pas de choses trop étonnantes mis à part ce sacré Pierre Repp qui n'arrête pas d'être demandé.
     

    Bref, bilan général positif pour moi, je vais donc rempiler pour au moins un an.

    Et de votre côté, dites moi un peu ce qui vous plait, ce qui vous plait moins et surtout j'aimerais bien évoluer au niveau du look du blog, des idées ?

    Pour ceux qui sont arrivés jusque là, ci-dessous une petite histoire en récompense, ceux qui ont zappé (je les comprends, mais j'avais envie d'un petit moment d'auto-satisfaction, nul n'est parfait) peuvent aussi la lire.



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  • Toujours les impromptus : Comme vous le savez, Henri Salvador nous a quitté. Nous voulions lui rendre hommage dans les jours qui viennent. Mais Henri Salvador, c'est avant tout un grand éclat de rire. Point d'hommage larmoyant, rions que Diable ! Afin de ne pas être emporté par la tristesse. C'est pourquoi nous vous proposons :Ah ! c'qu'on est bien quand on est dans son bain !

    Voilà donc mon petit au revoir à Henri.

    Ah c’qu’on est bien quand on est dans son bain.

    C’est bien vrai ça !

    Voyons, j’ai tout ce qu’il me faut pour passer un moment délicieux.

    Je sens les courants qui passent sur ma peau, c’est divin.

    Le mélange du frais et du chaud fait un bien merveilleux.

    Un petit cocktail d’huitres pas loin de la main, le soleil au loin qui se couche, les grands oiseaux qui glissent l’aile sous le vent, la chanson douce du vent dans les dunes. Bonheur et béatitude.

    Bon, malheureusement les meilleures choses ont une fin.

    Un peu de sable fin mélangé à l’air ambiant, une bonne friction pour se faire la peau douce.

    Un peu de vase pour se nettoyer les cheveux et un démêlage avec mon peigne arête de poisson préféré.

    C’est vrai que je commence à avoir les doigts qui se rident et les écailles qui desquament, il ne faut quand même pas exagérer.

    Un bain d’air est toujours un moment excitant quand on est une sirène, l’important étant de se trouver une petite baignoire de rochers à l’écart des humains mais tout près de l’eau pour éviter de se transformer en hareng saur.

    Et maintenant, hop retour à la maison, un plongeon dans l’eau et toutes les bulles d’air qui sont encore sur moi sèchent bien vite. Je me sens en pleine forme.

     



     


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