4 mai : Insecte – Pas idiots les bestiaux, ils sont tous restés à l'abri de la pluie. Il faut dire qu'après avoir vu le documentaire "Microcosmos" c'est effectivement plus prudent. Ca peut faire drôlement du dégât une petite goutte d'eau.

5 mai : Je pourrais tout aussi bien – Me contenter aujourd'hui de vous faire écouter cette superbe chanson qui m'est revenue en mémoire après le 366 réels d'hier et puis les images sont magnifiques. Quant aux paroles elles sont de plus en plus d'actualité.

1^er mai : Comment je pense à demain – Comme demain est un samedi, jour de liberté, j'y pense sans y penser, prête simplement à me laisser aller aux surprises de la journée et à profiter de chaque instant.

2 mai : Sucré – La moitié du bassin de la piscine nous a été "sucré" pour accueillir les anciens chassés de leur piscine fermée pendant les vacances. Dans l'absolu c'est très bien qu'ils puissent nager en toute quiétude (un jour je serai peut-être bien contente d'en profiter aussi), mais là où je râle c'est quand ils sont à 4 dans deux lignes d'eau alors que le reste de la population aquatique est à 8 dans une seule ligne.

3 mai : Ce qu'il y a dedans – Plein de rêves et d'aventures habitent probablement cette drôle de cabane construite en forêt. En revanche, il est sûr que les courants d'air y sont bien installés, les architectes ont encore quelques progrès à faire !

27 avril : Orange – Heureusement que j'ai été faire ma balade ce matin, sinon j'aurais eu du mal à coller au thème du jour. Merci ami(e) cygne !

28 avril : Le confort c'est – Enfin en l'occurrence c'était, au bureau, le plaisir de me retourner pour profiter de temps en temps de la verdure des bambous et du camélia qui poussaient devant mes fenêtres. Hélas babylas, le choc en revenant de mes quelques jours de vacances, Attila était passé par là, plus de bambous, coupés au ras du sol, le camélia en pleine floraison, réduit de moitié. Cela faisait 3 ans que notre service demandait un peu d'entretien, manifestement le service chargé de ce travail a décidé de rattraper le temps perdu et de s'assurer que nous ne lui demanderions plus rien pour les 3 ans à venir. C'est à pleurer ce gâchis !

29 avril : Comment lui dire ? – 10 ans que j'essaye de lui faire comprendre que, non, on ne met pas son museau délicat et velu dans le beurrier, qu'il faut attendre que l'esclave à 2 pattes lui en propose sur le bout de son doigt, que non ce n'est pas la peine de dépasser le seuil tolérable de décibels pour réclamer ses croquettes, que l'esclave 2 pattes sait très bien où elles sont stockées. Il ne faut pas que je m'entête ? Nous sommes d'accord ! Je sais, je me venge bassement avec une photo qui manque de distinction !

30 avril : Ce qui craque – Ma mâchoire ! Je ne sais pas ce que j'ai cet après-midi mais je n'arrête pas de bailler, pourtant mes brochures sont toujours aussi passionnantes. Non en fait, je crois plutôt que les plats du restaurant administratif sont chouia rebelles à la digestion ! Je vais peut-être me mettre un peu de musique qui pulse avant de me retrouver, comme Gaston Lagaffe, avec les touches du clavier incrustées sur le nez ! Je viens de me dire "Et il est quelle heure avec tout ça" en regardant le thermomètre, je ne suis pas arrivée à la fin de la journée !

23 avril : Fragment d'aujourd'hui raconté en sondage d'opinion – Deux brefs sondages d'opinion ont été réalisés aujourd'hui.

A la question, est-il normal que la 4 pattes soit nourrie par la 2 pattes à l'issue des travaux ménagers de la seconde, la réponse a été de 100 % d'opinions favorables pour la 4 pattes contre 10 % pour la 2 pattes (qui estime que c'est elle qui travaille, ce à quoi la 4 pattes précises que l'aspirateur la stresse et qu'elle a besoin de se refaire une santé après).

A la question, faut-il systématiquement éviter toutes les fleurs lorsque l'on tond la pelouse, 100 % des "je déteste les fleurs coupées" plébiscitent le oui, 50 % des jardiniers estiment que les primevères peuvent être évitées, 50 % des autres jardiniers estiment qu'il ne faut pas pousser grand-maman dans les bégonias et pensent qu'il est possible de ratiboiser les marguerites (sauf à posséder la tondeuse à gazon de Gaston Lagaffe)

24 avril : A 11 h 30 précises – Pas évident de surveiller sa montre pour être pile poil à l'heure, surtout quand aucune des pendules de la maison n'indiquent exactement la même heure. Je peux donc dire qu'entre 11 h 29 et 11  h 31 j'étais en train d'astiquer mon évier avec du vinaigre ménager. 12 h 30 m'aurait mieux convenu, à cette heure là je trempais une frite dans le petit bain de la piscine ce qui était beaucoup plus ludique !

25 avril : La famille – Ce n'est pas le jour d'y penser !

26 avril : Table de – Tri de mes "œuvres". Pour préparer une mini-expo de notre atelier de calligraphie et de peinture chinoise pour la fête de la peinture, je me suis installée à mon bureau pour trier entre les "ouille", les "peu mieux faire", les "pas trop mal", les "passables", les "mais bon dieu, ça se regarde comment", les "allez je me lance avec ça" et histoire de mélanger les genres, j'ai tempéré la "zénitude" de cette activité avec les hits du top 50 enregistrés cette semaine. Un p'tit coup de High Energy ça vous rebooste !

20 avril : Rouge – Ah le rouge, ma couleur préférée, fille de pompier oblige j'ai nagé dans le rouge dès ma naissance. Difficile de faire un pas chez moi sans tomber sur cette couleur : le stylo plume, l'agenda, les lunettes, pas mal de vêtements encore que maintenant avec des cheveux qui se poivredesalent de plus en plus le rouge ne va plus aussi bien au teint et il me faut changer mon fusil d'épaule, et bien sûr ma voiture (une modeste Citroën, pas le truc hyper-speed avec un cheval). Pour tout dire j'ai même poussé le vice jusqu'à naître sous le signe du Lion, signe de feu par excellence quand même !

21 avril : Plaque de rue – Quelques plaques de rue d'Evreux, celles où je passe régulièrement : Rue Blanche Barchou (pas moyen de trouver la moindre indication sur cette brave femme), Rue du Docteur Bergonié martyr de la science (oui, oui, c'est le nom entier, un problème avec le radium lui a valu ce titre). Celles dont le nom fait rêver, Rue du Puits carré (je ne sais pas non plus pourquoi il est carré), Rue de l'Echelette tordue (en fait un escalier de 202 marches), Rue de la Glacière (qui a malheureusement été débaptisée) et dans mon bourg, cette plaque que je trouve limite cynique mais qui aura le mérite de faire faire des économies à la commune lors des prochaines guerres.

22 avril : Je renonce à – Changer la télécommande de ma voiture. Depuis quelques temps, ça ne veut plus faire bip et ouvrir automatiquement mes portes. J'ai pensé qu'il s'agissait d'un problème de pile et je suis passé à mon garage pour la faire changer. Et bé non, en fait c'est un problème électronique, un composant qui ne fonctionne plus, il faut donc changer l'intérieur du bazar. Je me suis donc enquise du prix de la manœuvre, lorsque mon garagiste m'a indiqué que cette plaisanterie me reviendrait à plus de 100 €, j'ai fait "gloups", j'ai pris l'option de continuer à ouvrir mes portes bêtement en mettant la clé dans la serrure comme je fais depuis 35 ans et je vais m'acheter pour 100 € de noix de cajou !